1001 films de Schneider : High Plains Drifter
L'Homme des hautes plaines
L'Homme des hautes plaines
Film américain réalisé en 1972 par Clint Eastwood
Avec Clint Eastwood, Verna Bloom, Marianna Hill, Mitch Ryan
Je ne fais jamais de résumé de film, sauf exception, en voici une :
La vengeance est un plat qui se mange froid...
et la misogynie "is well and alive" au pays du western.
Une sorte de High Noon revu et corrigé par Sergio Leone.
Encore le beau rôle pour ce cher Clint, fils spirituel, complètement perverti, de Gary Cooper.
Mais qu'est-ce qui m'agace tant dans ce film?
Je ne fais jamais de résumé de film, sauf exception, en voici une :
La vengeance est un plat qui se mange froid...
et la misogynie "is well and alive" au pays du western.
Une sorte de High Noon revu et corrigé par Sergio Leone.
Encore le beau rôle pour ce cher Clint, fils spirituel, complètement perverti, de Gary Cooper.
Mais qu'est-ce qui m'agace tant dans ce film?
D'abord, le village IKEA qu'on vient juste de finir de monter lorsque Clint nous joue le numéro du "lonesome cowboy" qui arrive lentement grâce une longue focale dictée par ce même cowboy. Ah oui! et tout le monde a lavé les vitres de ses fenêtres pour l'arrivée de l'inconnu.
Puis, la scène du viol, à cause du classique "NON qui veut dire OUI" des femmes dont les westerns, entre autres, nous ont abondamment abreuvé et que je ne suis plus capable de piffer à 100 kilomètres.
Puis, ce fameux "mon nom est personne"; on nous l'avait bien joué à quelques reprises celle-là
Lecture cinéphilique
Images. My Life in Film par Ingmar Bergman.
À 72 ans, après avoir mis un terme à sa carrière cinématographique, Bergman retourne visiter ses films. Un aperçu de ce qui vous attend si vous plongez dans cette oeuvre : "this act of looking back would, at times, turn into a murderous and painful business."
Lecture en parallèle avec Les bienveillantes de Jonathan Littell dont je ne veux pas sortir tant c'est gigantesque; le Citizen Kane de la littérature, rien de moins. À ranger à côté de À la recherche du temps perdu... bon, o.k., à quelques pas.
Visionné, la première fois, en août 1973, au cinéma à Toronto
Mon dernier mois, celui-ci passé dans l'Ouest canadien, à titre de coordonnateur de l'échange avec le Mexique pour l'organisme Jeunesse Canada Monde : fin d'une grande aventure.
Mon 98ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider
Mon dernier mois, celui-ci passé dans l'Ouest canadien, à titre de coordonnateur de l'échange avec le Mexique pour l'organisme Jeunesse Canada Monde : fin d'une grande aventure.
Mon 98ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider
Mis à jour le 25 janvier 2023