Film britannique réalisé en 1964 par Guy Hamilton
Avec Sean Connery, Honor Blackman (Pussy Galore), Gert Fröbe (Auric Goldfinger), Harold Sakata (Oddboy)
Après avoir revu ce film, j'ai pensé au mélodramatique titre du film de Luigi Comencini ; "Mon Dieu, comment suis-je tombé si bas ? " Passer de Fellini à Guy Hamilton, on parle bien de chute.
Attaché à mon concept de revoir tous les films de Schneider en suivant l'ordre chronologique de leur apparition dans ma vie de cinéphile, je me retrouve, quelquefois, dans l'obligation de faire un commentaire sur un film sans intérêt, pour moi.
Ne boudons pas notre plaisir, on s'amuse quand même un peu à revoir un Bond, surtout ceux de la première cuvée avec Sean Connery, en macho extrême. En une seule galipette dans le foin, il réussit le tour de force de faire changer de camp Pussy Galore en plus de lui faire changer d'orientation sexuelle. Fort, le mec.
Le comble du manque d'à-propos, cette phrase de Bond : "Boire du Dom Pérignon pas assez froid c'est comme écouter les Beatles sans boules-quiès". Toute la bêtise du personnage ramassée dans ce "one-liner".
Basta. R.A.S.
À ne pas mettre au même programme : Goldfinger et Shoah (9,5 heures) dans lequel je suis plongé depuis quelques jours.
Oscars 1965 : Une statuette pour les effets spéciaux.
Visionné, la première fois, le 30 septembre 1976 à la télévision à Montréal
Se farcir un James Bond à la télévision !!!
Mon 138ème film visionné des 1001 films du livre de Schneider
Mis à jour le 29 décembre 2022